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Recruté par le FC Bruges, il réalise une excellente saison 1985-1986 en remportant la Coupe de Belgique et en étant sélectionné en équipe de France pour la Coupe du monde 1986. Recruté par l’Olympique de Marseille, il y connaît l’apogée de sa carrière et remporte avec le club marseillais, le Championnat de France en 1989, 1990, 1991 et 1992, la Coupe de France en 1989 et atteint la finale de la Ligue des champions en 1991. En 1992, il est l’objet du transfert le plus élevé de l’histoire du football, quand il quitte l’Olympique de Marseille pour le Milan AC avec lequel il fait le doublé Série A-Ligue des champions en 1994. Il rejoint le Bayern Munich, avec lequel il remporte la Ligue Europa en 1996. Il revient en France, aux Girondins de Bordeaux où il est finaliste de la Coupe de la Ligue en 1997 et 1998 puis termine sa carrière professionnelle à l’En avant de Guingamp. Il quitte Lens en 1989, après avoir marqué 41 buts en 112 matches.
La promotion est obtenue le 1er juin 1963, au soir d’une victoire contre Sochaux par 3-1 (avec deux buts de Jean Guillot et un but de Sadek Boukhalfa), devant l’affluence record de 16 959 personnes. Nantes caracole bientôt en tête du championnat, est champion d’automne en décembre 1962 et si Saint-Étienne finit par passer devant les jaunes, ceux-ci ne ratent pas la montée pour autant. Dupal, faute de résultat, est remplacé au début de la saison 1959-1960 par Karel Michlowski, l’ancien entraîneur du Racing Club de Lens. Le technicien belge Henri Depireux devient entraîneur au début de la saison 1989. Il est remplacé au bout de quelques mois par Joël Muller, alors responsable du centre de formation, qui entame en novembre 89 un des plus longs baux en 1re division pour un entraîneur. Ainsi, le règlement de la compétition prévoyait que 30 % des recettes seraient versées dans une caisse de péréquation destinée à aider la Division 2. Enfin, Les dirigeants espéraient pimenter l’avant-saison, dont les matches de préparation n’attiraient plus de public.
Enfin, Arribas oriente son équipe, constituée de bons techniciens plus que de grands gabarits, vers un jeu court et rapide. L’un des matches les plus marquants de l’année, une rencontre décisive dans la course à la troisième place qualificative pour les barrages, a lieu à Monaco. Le 23 janvier 2009, a lieu le premier grand match de Coupe de France à l’Épopée lors des 16e de finale de la Coupe de France entre l’USL Dunkerque et le LOSC Lille Métropole (Ligue 1). La rencontre se solde par une victoire du LOSC (0-3), devant près de 8 500 spectateurs. Lors de la saison suivante, le club est éliminé dès la phase de poules de cette Ligue des champions et est neuvième du championnat à mi-saison. L’arrivée d’Émile Veinante à la tête de l’équipe est le signe d’un changement de la politique du club : avec l’ancien international qui vient d’obtenir la montée pour le FC Metz, Nantes vise une promotion rapide en D1. Veinante ne parvient jamais à décrocher la montée (6e en 1953 et 9e en 1954) et démissionne au printemps 1955 avant la dernière journée. À l’issue de la saison, Nantes, 17e, est voué à la relégation avant d’être finalement repêché.
C’est avant tout un technicien et un autodidacte avoué qui aime tester différents systèmes, ce qui va permettre à Nantes de prendre une bonne longueur d’avance tactique sur ses concurrents. Si Nantes est tenu en échec (2-2), Jacky Simon ouvre le score à la 11e minute, ce qui fait de lui le premier buteur nantais parmi l’élite. Remontés, les joueurs nantais égalisent mais l’arbitre refuse cette fois le but au motif d’un hors-jeu. Au cours d’une partie engagée, le FCN vite réduit à dix par la blessure de Baumann tient un score nul (1-1), mais à 10 minutes de la fin Monaco inscrit un but validé malgré un hors-jeu évident. Le 1er septembre 1963 voit le FCN jouer sa première rencontre en D1, contre Sedan. Pour cette première saison les Nantais se classent 5e de leur groupe. Les résultats s’améliorent très vite, pour la première saison de l’entraîneur basque, en 1961, le FCN termine à une honorable 11e place en D2. Le FCN entre donc dans l’ère du professionnalisme deux ans après sa création, toujours avec des joueurs issus pour la plupart de la Saint-Pierre (Gergotich, Kerdraon, Crépin) et renforcés de quelques joueurs expérimentés comme Antoine Raab ou les frères Abautret.